La fabuleuse histoire du "Fabuleux destin de"

Émission quotidienne de France 3, dans les années 2000, présentée par Isabelle Giordano, journaliste très active à la télé à cette époque. Le projet lui avait été envoyé car elle brillait par une attitude polie et courtoise. J'avais ciblé cette personnalité en espérant qu'elle saurait organiser ces interviews et rencontres d'anonymes ayant côtoyé des Stars. Quelques mois après avoir envoyé le projet média j'ai vu se développer cette sympathique émission que je suivais chaque soir. Je n'avais demandé en échange du concept qu'un apprentissage de la production audiovisuelle dans ce projet. J'ai bien appelé une fois alors que l'émission avait débuté mais l'on s'est mal compris et je ne suis pas allé rencontrer l'équipe. J'avais bien eu Isabelle Giordano au téléphone. La production était l'affaire de France 3 et PAF Productions, société revendue ensuite à Endémol puis dissoute. Isabelle, quant-à-elle s'occupe maintenant de Mécénat et de la Fondation BNP Paribas.

 

La vie dissolue d'Isabelle Morini-Bosc à Pigalle

Toujours par monts et par vaux, Isabelle Morini-Bosc ne s'embarrasse pas d'un appel aux Taxis parisiens. Un jour que je traversais Pigalle pour monter au Sacré cœur je vois une femme sur la rue qui se dirige vers ma voiture. Elle ouvre la porte passager et s'assoie sans autre présentation. "Vous allez où?" me dit t'elle. "Vous m'emmenez chez moi, c'est à gauche" me faisant faire demi-tour sur le boulevard Marguerite de Rochechouart. Un peu étonné je rigole intérieurement en me disant, c'est qui cette dingue qui racole Place Pigalle? En fait elle sortait de "La Cigale" où elle était pour un concert, c'était son métier à l'époque. L'histoire remonte aux années 90. Chemin faisant j'essaie de faire connaissance avec l'olibrius. Arrivé près de chez elle j'imaginais qu'elle me proposerai un café par reconnaissance. Au lieu de ça elle déclare : "Mon mari m'attend, je descends là" et elle descend directement, me laissant en sens inverse de la direction de Montmartre.

Gonflée la nana, j'en rigole encore en la voyant à TPMP.

 

Retour vers le futur de Mélissa Theuriau

Bien connue dans les médias depuis la présentation de "Zone Interdite" sur M6, Mélissa a fait son chemin. Maintenant productrice de documentaires elle est passée par la formation de l'Université de Grenoble UGA. C'est justement pendant ses études que je l'avais rencontrée à Grenoble. Elle travaillait dans un Hôtel du centre-ville. Le jour où je me suis présenté à l'accueil de ce petit établissement je ne savais pas qu'elle aurait une si belle carrière, agrémentée par la rencontre de Jamel Debbouze. En effet je cherchais une adresse de la zone industrielle Nord de Grenoble et le GPS n'existait pas encore. Elle m'avait renseigné sur la direction à prendre et je suis parti sans en demander plus. Cependant, de retour dans ma voiture je devais faire demi-tour et passer à nouveau devant l'hôtel. J'ai eu une sorte de flash et je suis remonté à l'accueil en demandant à la jeune femme de se mettre dans la lumière. Il y avait un spot en hauteur. Je lui ai alors demandé quelles études elle suivait. Comme elle parlait de Journalisme je lui lui ai proposé le numéro de Bernard De La Villardiére, rencontré lui, dans le cadre humanitaire d'une ONG parisienne dont il était Président. C'était à elle "de jouer" et se présenter par téléphone. Quelques mois plus tard je voyais enfin Mélissa commencer sa carrière audio-visuelle. En 2012 Mélissa abandonna "ZONE INTERDITE" pour de nouveaux projets. Elle a produit un documentaire sur "L'entrée des trappistes", retraçant la vie de célébrités qui ont grandi à Trappes comme Omar SY, SHY'M et d'autres. Avec douleur, Mélissa était allée chez les Maasaï avec Frédéric LOPEZ. Une épreuve lorsqu'elle a dû marcher jusqu'à une montagne éloignée. Pour le fun, l'entourage de Jamel appelle Mélissa "la kryptonite" car il perd ses forces quand elle est avec lui.

 

Retour sur un mensonge 2016

La tentative de récupération sarkozyste fait oublier la réalité des faits pour la libération de l'otage des FARC, la franco-colombienne Ingrid Bétancourt, 3 citoyens américains et 11 militaires colombiens. En réalité ce ne sont pas les actions de sarkozy qui ont permis la libération d'Ingrid, mais les conseils stratégiques humanitaires d'une ONG indépendante. Ces conseils ont conduit les militaires colombiens à organiser une opération de sauvetage risquée, juste au moment où la trêve des survols militaires était décidée par le gouvernement colombien de l'époque.

 

 

Après la rencontre des enfants d'Ingrid lors d'une manifestation au Trocadéro j'avais discuté avec leur tante près du mur de la Paix sur le Champs de Mars. Plus tard j'ai écrit au gouvernement colombien d'Álvaro URIBE pour suggérer une stratégie de libération des otages en organisant un survol par hélicoptère quand les vols militaires étaient suspendus. L'idée principale fut de peindre les hélicoptères en blanc avec des bandes rouges similaires aux engins des ONG. L'opération s'est déroulée comme prévu pour un "transfert humanitaire" qui s'est avéré être la libération de ces personnes détenues dans la forêt colombienne. Lors de la rencontre avec Bernard Kouchner, alors Ministre des Affaires étrangères j'avais pu faire "un rapport oral" au Général Bernard de Courrèges d'Ustou en poste de Chef du cabinet militaire du Premier ministre du 16 novembre 2010 au 25 Mai 2012. Si ma mémoire est exacte c'était bien ce Général cinq étoiles. Mais ça pouvait être aussi le Général François Lecointre du cabinet militaire du ministre de la Défense (2009 à 2011).