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24.09.2018

Police, Peur et publications

Pourquoi parle-t'on tellement de la Police?

Y a t'il une fausse raison, un contre-feu à l'affaire Benalla ou à la menace terroriste dont j'ai été victime?

 

Pourquoi le procureur du 94 me répond t'il que les personnes ayant fait l'objet de plainte pour tentative d'enlèvement n'ont pas été trouvées alors qu'il s'agit de mes voisins, déjà condamnés pour les mêmes faits en Espagne et par la Justice américaine?

 

Quand à la menace du flashball, il s'agit d'un policier musulman manipulé par une algérienne proférant insultes et menaces depuis plusieurs années et mettant en oeuvre une vengeance parce qu'elle a été condamnée à couper un arbre qui détruisait des murs voisins. Ce même policier disait: "si vous publiez des photos de vais revenir", et la voiture noire a été rayée d'une aille à l'autre?

 

Les menaces de vengeance ont été proférées devant la Police alors que cette personne disait "prendre de la cocaïne parce que c'est une drogue récréative". 

 

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Quels tuteurs pour les nouveaux policiers soumis aux pressions et à la difficulté d'exercer l'autorité sans en abuser?

 

Dans le cas de menace par des policiers ou policiers municipaux n'hésitez pas à contacter l'IGPN de votre région pour enquête. Ce n'est pas très long et il y a des résultats même s'ils ne sont pas communiqués publiquement. Ils connaissent les personnes qui posent problème dans leurs rangs et savent prendre les mesures adéquates. Inspection Générale de la Police Nationale .

 

 

Il y a de nombreuses questions dans le comportement, le discernement, l'action ou la rédaction de rapports d'intervention. Dans la vie quotidienne, les citoyens sont témoins, victimes ou agresseurs de la Police. Il est vrai, comme le disait une chercheuse sur BFMTV que la sensation d'être harcelé par des contrôles policiers ou des interventions avec moyens disproportionnés créent une volonté de réaction.

Il y a bien sur la Direction Générale de la Police Nationale, ou la possibilité de déposer une plainte simple. Mais, sans l'appui d'un avocat la plainte peut être refusée ou amoindrie par des collègues cherchant à minimiser les faits. C'est du vécu, comme une menace directe au Flashball par un policier municipal casqué et ganté, entré dans une cour privée sans bruit ni raison légale. Lorsque des personnes sont assez organisées pour amplifier des litiges et faire croire à une dangerosité "locale", alors les choses se compliquent. Car, la Police peut aussi être victime de courts mensonges ou de manipulations, de guet-apen, d'attaques directes. Et n'oublions pas la corruption exercée par les mafias représentée par des personnes "d'apparence correcte" qui se lient aux représentants des Etats ou de simples secrétaires de Mairie. 

 

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Dans chaque cas une solution? En tout cas dans chaque cas des réactions mesurées ou inadéquates. On ne peut pas vilipender un corps d'Armée entier, la Gendarmerie dans son ensemble ou "la Police" dans sa globalité. Si des faits appellent des plaintes et des sanctions c'est à la Police de prendre les dispositions en interne, ou si les faits le demandent au Parquet et à la Justice. Il est tout à fait évident que les faits en ce qui concerne les actions inappropriées des policiers sont souvent minimisées et couvertes par le Ministère, voir, renversées pour utiliser la notion de "légitime défense" évoquée par la syndicaliste de la Police "Unité SGP Police FMSI FO".

 

Trop peur? Va vendre des fleurs madame la policière syndiquée!

 

Article sur le site du syndicat de Police (disparu) vidéo Le Figaro.

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Lors de l'usage de la force légitime, les détenteurs d'armes par autorisation Ministérielle (ou préfectorale) sont protégés s'ils interviennent dans des conditions définies par les règles et les comportements qui leur sont prescrits. Cependant comme toute activité humaine de relation, le stress et le souhait de bien faire entraîne des réactions qui peuvent surprendre, inquiéter et justifier l'usage des armes. La première force d'intervention est la parole de l'Autorité, la seconde l'immobilisation et en dernier lieu l'usage d'une arme.

 

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Sources: CNEWS, BFMTV, ICRC, Unité SGP Police FMSI FO, DG Police.

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